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SETAREGAN
27 février 2009

ATTENTION AUX ARNAQUES : IDTGV ou l'escroquerie légale

 

         Une triste mésaventure narrée par Sebmusset mais que beaucoup d'autres personnes ont dû partager aussi et qui concerne beaucoup : la SNCF , entreprise autrefois de service publique mais à la course aux profits uniquement aujourd'hui . N'hésitez pas à diffuser et à faire diffuser vos propres expériences d'arnaques par la SNCF dont le devise pourrait être pour cette entreprise de déplacement : take the money and run !

   

   
ID-TGV : la facture sonne toujours quatre fois

Laissez-moi vous narrer une mésaventure toute chaude qui montre à quel point je suis d’accord avec Frédéric Lefebvre :  Il est important de stopper la criminalité organisée sur internet !

Harassé par le poids de la vie parisienne, son cortège de gris et sa mauvaise humeur généralisée, j’ai récémment décidé de répondre à quelques-unes de vos invitations à me rendre en province.  Première étape : Strasbourg.

Soucieux de ne pas subir le racket des 80% de taxes sur l’essence ainsi que des frais de péage prohibitifs pour une autoroute amortie depuis des années dont l’état a légué la concession à quelque affinité de palais, je décidai de prendre le train.

C’est ce genre de folie dont l’homme confiant dans le sérieux des entreprises de son état n’a pas idée du genre de frais qu'à l’époque de la fluidité des transactions sur internet, elle peut engendrer.

Me voilà donc à 20h00  sur le site de la SNCF. Pour le même trajet, je découvre une gamme de prix allant du simple au sextuple. Habituelle mécanique de la confusion des offres, décrédibilisant la valeur du service et le coût de production, dont les marchands du temps aveuglés par la rentabilité immédiate ne semblent pas saisir le danger qu'elle représente à terme. Vendre les mêmes services ou articles d’un endroit à l’autre (ici au même endroit) alternativement pour 1, 40 ou 320 euros, génère un désordre chez le client qui le conduira à une paranoïa de l'offre. Proche est le jour où l'usager s’enquerra de s’approprier l’objet de ses désirs à la valeur préhistorique qu'il aura unilatéralement décrétée soit : Tu me le donnes où je te tue.

En attendant ces jours imminents du règlement de compte généralisé, revenons à ma colère du jour.

Écrivain étant de loin le métier le moins rentable au monde, face au site bordélique de la SNCF et alléché par des tarifs cassés surnageant entre deux billets hors de prix : j’optai en toute avarice pour ces tarifs avantageux au sein de la gamme de réductions auxquelles je peux prétendre n’étant ni ado, ni retraité, ni membre du gouvernement : C'est à dire aucune.

20h30 : L'indécrottable ergonomie préhistorique du site de la SNCF (caractères lilliputiens, manque de lisibilité de l'ensemble, navigation médiocre, opacité de l’architecture, pléthore de messages inutiles, autisme de l’interactivité…), son absence d'intuition même la plus basique (il vous propose ainsi, systématiquement depuis dix ans, une date de retour antérieure à votre date de départ) et la lenteur générale de la plate-forme de réservation montrent à quel point cette entreprise a, d'un point de vue informatique, mal survécu à l’extinction du Minitel.

21h00 : A force de persévérance, jonglant entre les nuances ferroviaires entre réservation, consultation d’un horaire, suggestion d’itinéraire et résumé d’une réservation de consultation d'horaire, Bibi se concocte un petit voyage en première classe aller-retour pour une valeur de 60 euros sur un truc bizarre et pas cher avec plein de couleurs pour djeun'z  nommé ID TGV. En dédommagement d'une montée de stress consécutive à 30 minutes de recherche d'un horaire potable pour un prix décent, j'opte pour un siège en zone ID ZEN garantie exempte des deux plaies du monde moderne que sont les portables à sonneries personnalisées et les enfants de mes voisins.

Candide, je coche des conditions de ventes m’informant que le billet est non-remboursable et modifiable jusqu’à la veille du départ en échange de 10 euros. J’entre mon numéro de carte bancaire. Je m’inquiète moyennement de l’absence du cadenas jaune en bas de navigateur me rassurant sur un vague lit de chauvinisme, que le site le plus visité de France, émanant de surcroit d'une entreprise publique, doit être à la pointe de la sécurité.

Enter.

Rien. Juste rien. Un message s'inscrit sur la page blanche qui m'obsède depuis une longue minute : Votre navigation a été interrompue. Rapidité et information constructive : C’est fort de ce constat répété avec obstination depuis 20 ans que je prends de moins en moins le train.

Le site m’invite à recommencer ma commande.

En parallèle, aucun courriel ne me confirme ou infirme la commande.

Crédule et confiant, je réitère. Trois fois.

Même absence de motifs, même résultat : Écran blanc, rien et répétition du message.

Il est 22 heures, j’ai déjà passé plus de temps à essayer de décrocher mon billet que le voyage ne m’en prendra (si j'arrive à le payer un jour).

J’abandonne. Tant pis, j’irai à Strasbourg en velib.

Lendemain matin, 9h00. J’apprends dans la presse au travers d’un entrefilet perdu sous un bandeau publicitaire pour la SNCF, qu’il y a comme un "bug persistant" avec le site ID TGV. Rien de bien grave : Des milliers de consommateurs lésés depuis des semaines. Une broutille qui fait bien moins de barouf télévisé qu’une heure de retard pour les passagers à la Gare St-Lazare pour cause d'intolérable cruauté des grèves surprises de syndicalistes rétrogrades. Un rapide tour de forums m’apprends que le dysfonctionnement  IDTGV est de grande envergure et ne date pas d'hier.  Une dame témoigne : Elle s’est vu prélever 1300 euros et n’a jamais vu la couleur de son billet de train.

Un tantinet inquiet, je fais une recherche sur le site de la SNCF. Je découvre en entrant mon nom et mon adresse courriel (on notera au passage la performance au niveau de la confidentialité des informations) que je suis détenteur de 4 billets virtuels d’ID TGV pour le même voyage, le tout pour un prix pas virtuel du tout de 240 euros. 50 centimes du kilomètre : Le 4X4 de ma mère est plus économique.

Inconfortable moment où je me sens pénétré d'une grosseur dans le fondement. Pire encore : Son propriétaire est un énarque nommé Guillaume Pepy.

Après vingt minutes d’attente à la hot-line de la SNCF, après m’être une première fois fait raccrocher au nez (rite de passage classique dit du premier filtrage depuis l’obligation de gratuité faite aux hot-line) et après avoir eu connaissance de mes réservations, un jeune garçon dont la voix m’indique qu’il tient à son métier prometteur, m’indique en langage nono-le-robot que le problème est identifié. Tu m'étonnes.

Oui, sachez-le : Le site de la SNCF serait en maintenance depuis deux mois, peut-être plus.
(Probablement depuis les assauts de l'ultra-gauche.)

Par chance, le service de collecte des paiements par carte de crédit lui fonctionne toujours, si ce n’est pour ce petit défaut de confirmation de la transaction (juste exigé par la loi). Avant de me faire la promotion du service révolutionnaire qu’offre ID TGV, le garçon m’informe que je recevrai un courriel dans les deux heures qui stipulera que mes commandes sauf la première me seront instantanément remboursées.

Le soir venu, je n’ai bien sur pas de courriel et encore moins de remboursement.

Inutile de préciser que le moindre webmaster bénévole de crèche associative vous confirmera que quand un site est en maintenance, il ne laissera pas le service de paiement en ligne en fonctionnement ou, qu’au minimum il préviendra l’usager qu’une maintenance est en cours.

J’attribue donc à la SNCF, à l’unanimité de mon vote, le Morano d’or de la cyber-criminalité à grande échelle. Mention : Crime parfait.

Sur la base :

1 / d'une absence de délit (je n’ai appris que par hasard que mes commandes étaient validées).

2 / d’une absence de preuves (je n’ai toujours pas de billets en ma possession, il faut les imprimer soi-même et donc devenir complice du crime. Une fois imprimé les billets deviennent définitivement non-remboursables).

3 / d’une absence de médiation (il est explicitement stipulé sur le site ID TGV que les litiges ne seront jamais traités de personne à personne, ni même par téléphone).

4 / d’un principe de fulgurance (Les billets ID TGV, pour être avantageux, concernent des dates très proches. Les relevés de banque, eux, sont envoyés a la fin du mois. On comprend l'avantage comptable que représente ces sommes collectées par la SNCF et la marge d'exploitation en forte hausse pour 2008 publiée ces jours-ci.)

5 / d'un coupable haut de dessus de tout soupçon. - Merde c'est la SNCF quand même, ils s'amuseraient pas à la petite arnaque de bas étage ? Se dira la victime du "bug". Quand bien même, c'est tellement gros : Par quel bout les attaquer ?

Et, oldie but goodie, le plus important :

6 / La cupidité du prospect. (Il y a des mots comme gratuit, discount ou liquidation
qui actionnent par déclic des comportements irrationnels chez le plus posé des individus. Dés que l’on fait miroiter un prix cassé de 90% entre deux billets au prix fort sur le même voyage, le blaireau à budget serré perd la raison. Et ne dites pas même si c'est vrai : Il est con ce Seb Musset il s'est fait niqué par ce qu'il passe ses journées à pointer du doigt mais contribuez à dénoncer  la violence de l'escroquerie mise en place (et éventuellement faites un don par PayPal avec la mention "pauvre tâche t'aurais du la voir venir !" ).

Admettons que le défaut de fonctionnement soit involontaire, sa récurrence depuis des semaines est coupable.

A ce stade, étant à la merci de l’organisation. J’ai 2 options :

1 / Sur le chemin de l'Alsace et de la Lorraine, me rendre physiquement au siège de la SNCF pour corriger virilement quelque intermédiaire de la chaîne de commandement. Au regard de la somme versée, j’estime que le client peut s’autoriser quelques extras de type coup de boule ou bonne gauche pète-chicots.

2 / Faire un billet vengeur dans l’océan de la blogsophère vindicative et appeler les futures victimes à fuir comme la peste la SNCF et ses services révolutionnaires (tout au moins sous leurs formes payantes).

Dans l'attente de nouveaux développements, voici à ce jour l’article de mon blog qui, si ce n’est littérairement au moins financièrement, m’aura le plus coûté.

Inutile de préciser que j’en autorise la duplication, la reproduction et la représentation hors du cadre familial et vous le cède à des fins contre-publicitaires : C'est moins risqué que de se balader à proximité de caténaires.

Quant à moi, voyageur bafoué, malgré mon amour des voyages en train pour les conversations que je peux y grappiller, je prendrai une grosse voiture qui pollue pour aller dans l'Est en écoutant Sophie De Menton dans Les grandes gueules s’insurger contre ces gangsters de l’internet qui méritent perpète. S'agirait-il des stratèges SNCF en alibi du bug  ? Non, des criminels de 12 ans organisés en réseau qui écoutent sans payer du MGMT dans leurs chambres au prétexte légitime que 19 euros pour un CD, c'est comme 240 euros pour un Paris-Strasbourg annoncé à 60 : Cela  répond de l'escroquerie à échelle industrielle.


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Commentaires
T
Il y a un mois j'achète un billet IDTGV aller-retour Paris-Aix TGV.<br /> <br /> <br /> <br /> La veille du départ, je me rends compte que j'ai intérêt à descendre à la gare précédente, Avignon TGV. Je descends à Avignon et je loue une voiture. Pas de problème.<br /> <br /> <br /> <br /> Au retour, je monte à Avignon et là, surprise, je dois m'acquitter d'une amende forfaitaire de 35 euros (plus 60 %). Rien à faire, le règlement, c'est le règlement!!! <br /> <br /> <br /> <br /> Mais alors, pourquoi n'a-t-il pas été appliqué à l'aller? Parce qu'il n'y a pas de contrôle à la sortie! Vivement le bracelet électronique pour les clients IDTGV!
M
Hier j'ai acheté deux billets en ligne via le site tgv.com.<br /> <br /> <br /> <br /> Après 1/2 heure de recherche, je trouve un billet Aller Simple Strasbourg-Massy à 66 euros pour deux personnes. Très bon prix... Je remplis donc le formulaire de réservation, j'entre les chiffres de la carte bancaire, j'appuie sur Entrée, et là... un message me disant de choisir un trajet......<br /> <br /> Soit, j'ai du faire une erreur.<br /> <br /> <br /> <br /> Je recommence ma recherche de billet Strasbourg- Massy, et là... je ne trouve que des billets à 170 euros !! <br /> <br /> <br /> <br /> Hé oui les amis ! après un certain temps de recherche sur le site tgv.com, votre adresse IP est enregistrée et les billets changent de prix ! <br /> <br /> Donc plus moyen de retrouver les prix de départ. (même si vous changez d'ordinateur, votre adresse IP reste la même tant que vous utilisez la même connexion internet).<br /> <br /> <br /> <br /> Connaissant ce type d'arnaque je prends mon téléphone et effectue la recherche sur celui-ci. <br /> <br /> Et là ! MIRACLE ! je retrouve mon billet à 66 euros.<br /> <br /> <br /> <br /> Donc pour moi, finalement, je ne me suis pas faite arnaquée, mais combien de personnes y sont passées !<br /> <br /> <br /> <br /> Je trouve ça scandaleux.
S
Plus le temps passe , plus je me demande si la mauvaise gestion matérielle , la logistique déplorable de la SNCF n'est pas VOLONTAIRE afin de se faire davantage de pognon sur le dos des honnêtes gens . <br /> <br /> <br /> <br /> Comprenez que la SNCF et beaucoup de ses valets trouvent qu'il n'y a pas suffisamment de voyageurs qui se mettent en faute par eux-mêmes ... il suffit alors de les mettre en faute en les incitant fortement à avoir affaire à du matériel informatique aussi performant que le 1er Imac , forte chance qu'il survienne un pépin dans le traitement de la demande . Paf , pas de chance ça tombe sur un brave voyageur qui a tout fait correctement mais qui est obligé d'assumer un surcoût financier pour une connerie de la machine ( T'avais qu'à passer au guichet acheter ton billet ! Mais non pauvre idiot , t'as voulu être moderne et soulager les guichets , éviter les files d'attente pur être plus rapide en t'attendant à un même modernisme dans les machines et l'informatique SNCF mises à ta disposition , idiot de voyageur honnête !) .
O
A mon tour, hélas, et j'aurais aimé ne pas en passer par là.<br /> <br /> Souvenir très désagréable d'iDTGV.<br /> <br /> <br /> <br /> Madame, Monsieur,<br /> <br /> <br /> <br /> Ayant réservé une place dans votre train il y a environ 3 semaines et pris ce dernier il y a 15 jours de Paris à Toulouse, je voulais vous faire part de ma déception concernant l'attitude d'un de vos employés.<br /> <br /> En effet, j'ai réservé comme il se doit ma place sur internet et comme je n'avais pas la possibilité d'imprimer mon billet (et qu'on ne peut pas faire imprimer les billets en agences sncf...), je n'ai pas trouvé d'opportunité d'impression avant la veille (de mon départ) au soir.<br /> <br /> J'ai donc imprimé, la veille, mon billet dans un cyber café dans lequel j'ai payé 1 euro la communication.<br /> <br /> La seule page imprimée ne comportait pas de code barre. Mais il était impossible d'aller plus loin dans la connexion.<br /> <br /> Par le biais de ma confirmation de réception, je suis effectivement allée sur le site d'iDTGV qui fonctionnait mal à ce moment-là et qui m'a rendu impossible la connexion à la page d'impression de mon billet.<br /> <br /> Apparemment, je ne fus pas la seule dans ce cas ; j'ai en effet constaté le lendemain, devant le train au contrôle, que d'autres personnes n'avaient pu imprimer leur billet correctement.<br /> <br /> Le lendemain matin, mon train quittant Montparnasse à 07h26, je suis arrivée avec 20 minutes d'avance, j'ai présenté la page imprimée au contrôle, espérant que celle-ci serait acceptée.<br /> <br /> Il n'en fut rien bien sûr, et j'ai été obligée de verser 5 euros en sus du prix que j'avais déjà payé sur internet pour ma place.<br /> <br /> Payer 5 euros de plus ne constitue pas un réel problème (et puis c'est précisé dans l'article ci-dessous, donc on n'a plus qu'à se plier à vos exigences), bien que je considère que cette somme ne vous est pas due ; mais si vous vous faites du blé en plus de ce que vous gagnez déjà en chapardant 5 euros par-ci par-là tant mieux pour vous ! Selon moi, c'est du vol. Surtout si votre site internet ne fonctionne pas correctement à certaines heures et empêche l'impression des billets en bonne et due forme.<br /> <br /> Le plus grave est que la personne qui m'a "reçue" au contrôle des billets a été d'une incorrection qui a frisé l'éclat de colère (chez elle et aussi chez moi à force de provocation de sa part).<br /> <br /> Ce qui n'a pas lieu être lors d'un contrôle et de l'accueil (en théorie agréable) vis à vis des voyageurs.<br /> <br /> Le contrôleur a insinué, devant les autres agents et devant le groupe de voyageurs, que je mentais lorsque j'ai expliqué que l'impression n'avait pas été possible.<br /> <br /> Il a menti lui-même en clamant haut et fort qu'il n'avait jamais vu de cas pareil dans tous les contrôles qu'il avait effectués, ce qui m'étonnerait beaucoup.<br /> <br /> Le contrôleur a menacé de me refuser ma place (que j'avais payée en ligne) et de me laisser sur le quai si je ne payais pas les 5 euros.<br /> <br /> Il a haussé le ton, toujours avec des propos moqueurs et humiliants, en disant qu'il refusait les espèces (car j'avais en espèces un billet de 50 euros sur moi), j'ai donc dû lui donner ma carte bancaire, à lui ce garde-chiourme ayant une attitude digne de celle d'un soldat allemand d'une certaine époque ...<br /> <br /> (Si tôt après moi, un monsieur est arrivé en présentant le même problème d'impression de billet que moi).<br /> <br /> Les contrôleurs et autres agents ont aussi la possibilité de tenir des propos aimables et respectueux, patients et calmes. C'est une option ...<br /> <br /> Il va sans dire que les paroles extrêmement désagréables et menaçantes, voire violentes de ce contrôleur m'ont choquée, et ont certainement choqué les personnes qui se trouvaient autour de moi. Le ton employé n'était pas approprié et ne donnait pas envie de revenir chez iDTGV.<br /> <br /> Je n'attends pas que vous me répondiez, mais que la qualité de l'accueil soit améliorée, si cela vous est possible, tant pour les employés d'iDTGV que pour les voyageurs qui attendent de la part des contrôleurs un minimum de bienséance, de respect et d'amabilité.<br /> <br /> L'impression des billets doit pouvoir se faire sans problème, également, et être possible dans des points iDTGV ou dans les agences de la SNCF, ce qui faciliterait la vie des voyageurs et leur éviterait de payer 5 euros pour une "impression à bord" ...<br /> <br /> Je vous remercie de votre attention et de prendre en compte de manière sérieuse ma revendication.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Article 4.5.1 Le Billet Imprimé doit être correctement imprimé<br /> <br /> ...<br /> <br /> iDTGV décline toute responsabilité pour les anomalies pouvant survenir en cours d’Impression du Billet Imprimé dans la mesure où elles n’ont pas été provoquées intentionnellement par iDTGV ou par suite de négligence de ce dernier.<br /> <br /> Conformément à l’article 6.1. des Conditions Générales de Vente, si Vous avez créé votre Billet Imprimé mais n’êtes pas en mesure d’en présenter une version imprimée, si Vous présentez un Billet Imprimé sur un support autre que celui requis au présent article ou si Vous présentez un Billet Imprimé avec une qualité d’Impression qui n’est pas suffisante, Vous devrez Vous acquitter de la somme de 5 Euros correspondant aux frais d’émission à bord.<br /> <br /> ...
M
sur le site SNCF je choisis un billet TGV Montpellier/paris qui correspondait à mon budget mais c'était un billet IDTGV non remboursable mais échangeable avec frais, j'imprime mon billet et je vois que je dois être au moins 30 mn avant le départ du train pour m'enregistrer. je les appelle en les disant que je ne pourrais étre à Montpellier 1/2 heure avant, mais que je prendrais le même TGV à Nimes puisque celui-ci s'arrête à Nimes 1/2 heure plus tard, au téléphone on m'informe que je dois échanger mon billet et prendre un autre billet au départ de NImes. et ci je fais cela je devais payer un autre billet pas dans ce train qui me reviendrai à 96 euros avec les frais d'échange. Vive l'Arnaque légale. Quel respect du client. Du coup je ne voyagerai pas mais je n'ai pas libéré ma place. j'ai trouvé un billet PREMS à 62 euros au départ de Nimes. quelle économie.
SETAREGAN
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